dimanche 27 mars 2011

Au revoir á Buenos Aires...

Le miroir, un des thémes de Borgés
...ville fascinante et bruissante dont on comprend qu'elle ait pu inspirer Jorge Luis Borgés. Il perdit, rappelons-le, la vue progressivement . "Tu deviendras aveugle mais ne crains rien.C'est comme la longue fin d'un très beau soir d'été".
Est-ce cette cécité (physique) qui lui permet de nous, conduire souvent jusqu'au vertige, dans les dédales (imaginaires) du temps, de l'univers, de l'esprit humain, de la ville, des livres, de l'identité...

"Il n'est pas nécessaire de construire un labyrinthe quand l'univers en est déjà un" (L'Aleph")

"Avec l'âge, j'ai appris à me résigner à être Borgés" (Le rapport de Brodie)

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