L'ëchope de La señora Mercedes |
Se sont-elles lassées de la Route avant moi, mes jusqu'ici fidèles chaussures voyageuses ? Elles ont bien failli m'abandonner sur les chemins boliviens.
C'était sans compter sur...
La Señora Mercedes tient à Coroico une toute petite échoppe oú elle vend (entre autres choses) des chaussures.
- No conoce, Señora, a alguien que arregle los zapatos ? = Ne connaitriez-vous pas, madame, quelqu'un qui répare les chaussures ?
- Claro que si ! Vaya a la esquina de esta calle y pregunte por “el zurdo”. Umberto se llama...= Bien sur que oui ! Allez au coin de cette rue et demandez “le gaucher”. Son nom est Umberto.
Nous passons une porte basse et là, Umberto a son petit atelier de cordonnerie, aidé par son épouse.
Sans attendre, avec le sourire (et une grande curiosité pour la France et le monde), pour 20 bolivianos [2 euros !], Il prolonge avec “maestria” la vie de mes précieux godillots !
Gracias Señora Mercedes, que je suis retournée remercier, pour son plus grand plaisir (celui d'avoir rendu service ? ).
Gracias Umberto, “petit” cordonnier de Coroico, ami (menacé comme chez nous ?) des chaussures qui durent et des...voyageurs non va-nu-pieds :-).
C'est reparti ! |
tes chaussures sont précieuses elles ont une histoire !
RépondreSupprimerpaqui