Casa de la Moneda / Potosi / Anonyme |
Le visiteur, en général, séjourne et circule dans le centre des villes. C'est à la périphérie, dans les "poblaciones", que se conjuguent pauvreté, absence d'eau voire d'électricité, de latrines, poussiére à la saison sèche, boue à la saison des pluies, crasse, chiens faméliques, sourires édentés...
On ne les visite évidemment pas ! On vous conseille même vivement de ne point vous y égarer.
Vous y êtes le plus souvent confrontés lorsque vous rejoignez le terminal de bus et à l'entrée et la sortie des villes.
Sucre n'échappe guère à ce tableau. Mieux encore, un code vous est donné : blanc du centre historique, rose des murs de torchis ou de briques des quartiers neufs et (mais pas seulement) pauvres.
Ce clivage nous l'avons partout rencontré, en terres latino-américaines comme en terres asiatiques.
Angel-Hic !
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