Au bout d'une allée, la tombe de "l'Indio desconocido", de ...l'Indien inconnu !
On reste quelque peu stupéfait face á la statue d'un aborigéne, sans doute Seik'nam, et sa plaque de marbre sybilline. Les circonlocutions poètiques tentent d'associer "indianité" souffrante et "chilénité" intégratrice.
Le plus étrange est que cet Indiecito ("petit" indien au sens affectueux) est désormais sanctifié et de multiples plaques blanches couvrent les murs du mausolée en signe d'actions de gràce : "Gracias, indiecito" ! "Petit indien, merci" !
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